En 1955, la plage de Jorf-Lasfar offrait un tout autre visage. Loin des installations industrielles d’aujourd’hui, ce rivage était un havre de paix, bordé par une forêt dense et protégé des caprices de l’océan par le majestueux Cap Blanc.
Cette anse naturelle, à la courbe douce, bénéficiait d’un microclimat particulier. Seules quelques pistes serpentant entre les pins la reliaient à la ville d’El Jadida.
Jorf-Lasfar n’était encore qu’un nom évoquant la nature, la mer, le silence et la promesse de journées paisibles.
Cette image figée dans le temps, est témoin d’une époque où la mer, la terre et le vent coexistaient encore dans une harmonie intacte.
El Jadida Scoop