Avant même que la campagne électorale ne démarre réellement, certains semblent avoir déjà “vendu le match”. Car cette fois, il ne s’agit plus seulement de vanter les “mérites”, pour le moins douteux, de quelques barons politiques, mais d’aller jusqu’à glorifier leur progéniture, qui aiguise a son tour ses armes pour être fin prête le jour » J ».Comme si El-Jadida était un héritage familial que l’on transmet à ses enfants, au même titre qu’un bien privé.Comme si la ville n’était peuplée que de brebis dociles, faciles à manipuler au gré des…
Read MoreJour : 20 novembre 2025
Les jumelages d’El Jadida : Pourquoi tant d’échecs ?
– Combien sont-ils ?– À qui profitent-ils ?– Quels bénéfices la ville en retire-t-elle ? La ville d’El Jadida a compris depuis longtemps l’importance de cette ouverture. En témoigne son premier jumelage, conclu en 1964 avec la ville d’Arenzano, dans la région de Gênes en Italie.Depuis, une longue série de jumelages s’est succédé, parfois avec des villes mondialement connues — ce qui est, en soi, un point positif pour notre cité.Parmi ces villes : Sète et Vierzon (France) Sintra, Albufeira et Lagos (Portugal) Marbella (Espagne) Acapulco (Mexique) Mazagão (Brésil) Varennes…
Read MoreEl-Jadida…Les chiens errants : pourquoi ce silence coupable ?
Le sujet semble devenu tabou, comme si les autorités marchaient sur des œufs, redoutant l’acharnement de certaines associations de défense des animaux ou de quelques particuliers prompts à s’indigner. Résultat : on se tait, on contourne le débat… pendant que le problème, lui, explose au grand jour.Les chiens errants se multiplient à une vitesse vertigineuse. Dans certaines artères, on ne parle plus de simples passages aléatoires : de véritables meutes s’y sont installées, contrôlant presque les lieux et instaurant un climat de peur permanente pour les habitants.Alors, que faire ?S’il…
Read MoreCes petites choses qui font la grandeur des nations
Lors du match Maroc–Ouganda, un détail a frappé autant qu’il a blessé : aucune minute de silence, aucun brassard noir, aucun geste symbolique pour honorer la mémoire de Mohamed Maâroufi, l’un des plus grands milieux de terrain que le Maroc ait connus.Rien. Le vide. L’oubli.Comment expliquer qu’un pays qui se veut une nation de football puisse passer sous silence le départ d’une figure qui a marqué son histoire sportive ?Comment comprendre que la Fédération, sous la houlette de Fouzi Lekjaâ, et tous ceux qui se présentent comme les “garants” du…
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