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Il y a de ces rencontres sportives où la balle et la » chance » semblent avoir choisi leur camp, dès l’entame des débats. Et c’est exactement ce scénario là qui a eu lieu au stade Hassan II, lors de l’opposition CODM- DHJ. Des meknassis qui réussissaient tout ce qu’ils entreprenaient, y compris des tirs » hasardeux « de loin qui finissaient toujours par trouver des lucarnes, presqu’impossibles et des jdidis qui rataient tout ce qu’ils entreprenaient, par manque …de chance.
Un manque de chance qui à force s’est transformé en poisse, pour finir par engendrer une certaine nervosité, source de maladresse chez les joueurs.
Il est aussi primordial de relever que notre Botola Pro de cette saison, s’illustre par une particularité qu’on a peu remarqué par le passé. Toutes les équipes se valent ou presque. Et toutes les équipes gagnent ou perdent un match grâce ou à cause de menus détails.
Le DHJ a perdu contre les meknassis par « manque de chance » . Cependant, on sait tous qu’ une chance ça se force aussi, car on y travaillé dessus et on arrive , à « l’ amadouer » et à la mettre de son côté, si on a l’état d’esprit pour et qu’on s’applique dans son jeu et dans l’exécution de son schéma tactique prôné par l’entraîneur .Car le « manque de chance », peut être suivi d’une période de doute, de manque de confiance en soi et en son potentiel footballistique. Des caractéristiques qui peuvent terrasser totalement certaines équipes dont les jeunes joueurs,mal encadrés , trouvent parfois des difficultés pour se relever d’une contre performance.
Comme on vient de le noter, la différence des points entre les équipes de tête et celles relégables est minime.Il suffit de gagner ou de perdre un match, pour se voir propulsé en haut ou dégringoler en bas du classement.Et c’est pourquoi, le DHJ a besoin d’un coach capable de faire en sorte que le mental des joueurs, soit au beau fixe. Les joueurs expérimentés, tels que Hadhoudi Aguerdoum, Hasnaoui, Al Yousfi…ont aussi un rôle à jouer en aidant leurs plus jeunes coéquipiers à garder leur calme et leur lucidité et à continuer à donner le meilleur d’eux- même sur le terrain.
Aucun supporter ne peut nier que notre club vient de recevoir un gros coup sur la tête contre Meknes. Mais ce n’était pas faute d’avoir livré une belle rencontre et montré des qualités indéniables de jeu. Zakaria Abboub doit parler de toutes ces choses positives à ses poulains et que toutes les équipes peuvent trébucher, mais seules les plus grandes par leur état d’esprit, leur solidarité, leur tenacité…parviennent à se relever et à avancer.
Bonne chance alors,à nos cavaliers Doukkalis
Abdellah Hanbali