Certes le DHJ s’est fait piégé contre le MAS, comme il s’est fait piégé contre l’OCS… Mais au-delà de toutes ces contre performances, c’est notre patience qui s’épuise et notre passion pour ce club qui fout le camp.. Pire, ce sentiment est partagé par un grand nombre d’anciens mordus de notre championnat national, devenu par la suite, Botola Pro (yahasra). Des stades déserts, des spectacles désolants, des joueurs, mieux préparés physiquement que par le passé, très certainement, mais démunis de talent, de créativité, de vivacité, de gestes techniques… à même d’offrir un spectacle capable de déchainer les passions.
La défaite du DHJ cet après midi, n’est que la conséquence d’une vision limitée et d’une gestion médiocre qui ont duré et perduré pendant des années. Une improvisation, qui explique, en partie, les résultats en dents de scie du Difaâ. Une situation étriquée qui met le club devant un sacré dilemme: sauver sa place en Botola Pro, ou au pire, chuter en Botola Pro 2.
Mais qu’à cela ne tienne, on reprendra les mêmes et on recommencera…
El Jadida Scoop
