Quand le DHJ n’avait pas besoin d’avocats pour défendre ses intérêts

Que ton âme repose en paix Si Lyazid Chergui, père spirituel du DHJ.

Tu nous avais appris à adorer les couleurs de l’équipe fanion des Doukkala, tu nous avais appris à tenir tête aux plus intransigeants des arbitres, tu nous avais appris à ne jamais craindre l’adversité, tu nous avais appris comment respecter la discipline footballistique, tu nous avais inculqué comment gérer la mobilisation tout en évitant les heurts internes ou externes…somme toute, tu avais représenté le modèle singulier du dirigeant engagé et prêt à tous les sacrifices, avec pour tout stimulant, l’amour de ta ville, l’amour du foot et l’amour de tous ces jeunes que tu considérais comme tes fils et qui te rendent la même révérence.

Dors tranquille mon ami.

Le football Jdidi ne t’oubliera jamais.

Chahid Ahmed

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