
Dès le coup d’envoi, on sentait le DHJ en danger face à une équipe aguerrie.
Il a fallu l’expulsion de l’attaquant burkinabé en première mi-temps, pour sentir diminuer la pression sur des jdidis, qui ne se sont et à aucun moment du match, montrés dangereux.
C’est donc un nul vierge qui n’est pas pour déplaire à une équipe doukkalie, au sein de laquelle beaucoup de travail reste encore à faire.
Et tant que les comités qui se sont succédé à la tête de ce club, y compris l’actuel, continueront à céder ses meilleurs éléments, il ne faudra aucunement s’étonner du niveau assez quelconque, que continue à nous montrer le DHJ, année après année.
Temps que certaines mentalités changent, afin que le DHJ puisse reconquérir la place qui a toujours été sienne sur l’échiquier national.