Le défunt Paris ciné (connu sous l’appellation de cinéma Dufour du nom de sa défunte propriétaire
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Sous le titre : « Le Maroc mise sur le cinéma social pour contrer l’avancée fondamentaliste », le journal espagnol La Provincia, édité aux Iles Canaries a couvert le festival de cinéma de Nador qu’il a présenté comme une « digue contre l’obscurantisme ».
Pour le journal en question, le 7ième art ‘’s’est converti en outil de sensibilisation contre les inégalités et l’extrémisme, en plus de favoriser l’ancrage des droits sociaux
Cinéma Rif ( aujourd’hui centre commercial)
Le festival de Nador, créé par le Centre pour la Mémoire Commune, la Démocratie et la Paix entend, entre autres actions maintenir vivace l’héritage de la Guerre civile espagnole, lors de laquelle plus de 80 000 soldats marocains originaires du Rif ont combattu aux côtés des franquistes dans un contexte historique où le Nord du Maroc était occupé par l’Espagne.
Selon La Provincia, l’État marocain promeut un certain nombre d’actions allant dans le sens d’honorer la mémoire de ces combattants qui, selon la version officielle de l’autre côté de la Méditerranée, se sont rangés ‘’ du mauvais côté’’ pendant les hostilités. Comme s’ils avaient une marge de manœuvre pour choisir leur camp!
Le défunt cinéma Marhaba, aujourd’hui un centre commercial