L’amateurisme, le tâtonnement, l’improvisation et la mauvaise gestion d’un club, dit professionnel, sont certains des facteurs, ayant acculé Tarek Mustapha au départ

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Déjà au début de la présente saison, les joueurs ont du patienter cinq longs mois, avant de percevoir quelques primes de matches.

Cinq longs mois et toujours, pas un seul sou sur leurs signatures. Une durée suffisante, pour rendre tout contrat caduc et permettre à tout joueur de quitter le DHJ, sans préavis.

L’entraineur Shehata et le joueur égyptien, Nour Essayed, qui ont fini par perdre patience, devant tant d’amateurisme et de « bricolage », décident de quitter le club pour regagner leur pays.

Et alors que les joueurs du DHJ, continuent à endurer et à espérer des lendemains meilleurs, certains clubs, pourtant dans une position de relégables, exemple du CAK et de l’IZK, mais mieux gérés, ont payé jusqu’au dernier centime, à leurs joueurs.

Et dans cette ambiance morose, l’OCP  verse  400 millions de centimes au club.

Tarek Mustapha s’empressa de demander au président du club le payement des joueurs. Mais ce dernier répondit par la négative, expliquant que le club a d’autres priorités.

Il n’en fallait pas plus pour dégoûter Tarek Mustapha et l’obliger d’emprunter le même chemin, pris quelques mois plutôt, par ses compatriotes.

 

 

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