Imaginez un instant, un lieu censé dispensé des soins et/ou une assistance médico-sociale, se retrouve…sans eau.
Imaginez un instant, tous les problèmes liés à l’hygiène qui vont surgir. L’état des toilettes. Les bactéries qui vont s’y propager.
Imaginez un instant, que ce lieu qui fonctionne depuis des années déjà, n’a jamais été raccordé à l’eau potable qui passe pourtant, juste devant l’édifice.
Comment il fonctionnait à ce jour, grâce à l’eau d’un puits, que médecins et infirmiers, utilisaient à ce jour, pour essayer de sauver des vies.
Or avec cette canicule et cette sécheresse, même ce puits s’est asséché.
Comment a-t-on osé agrandir ce dispensaire en 2018 et dépenser pas moins de 95 millions/centimes en travaux, sans qu’on n’y songe à son raccordement à l’eau potable.
A quel genre de responsables, d’élus, de patriotes, a-t-on affaire ?
De quelle gestion et de gournance parle-t-on, quand on voit tous ces Festivals pour ne pas parler de « Festivités » et tous ces Moussems où des milliards de centimes sont « dilapidés », quand on est même pas foutus de raccorder le dispensaire d’une commune de plus de 35.000 âmes, à l’eau potable.
Malheureux.
Abdellah Hanbali