Il y a de ces hommes dont le nom colle de trés près à certains sports ou à certains clubs. Des hommes qui ont fait vivre à ces sports/ clubs, leur âge d’or et fait vibrer le public, petits et grands.
Un Amour/ plaisir, qu’ils ont su inculquer et partager avec des millions de fans et d’enfants surtout.
Parmi ces ténors du sport national, on peut citer à titre d’exemple, les frères Bougja ( Rugby), Daouda ( Athlétisme), Boucetta ( Handball), Zaouli ( football – Hay Al Mohamadi- TAS), Doumou ( KAC- football)…et Hamid Lebbar ( volleyball DHJ).
L’Amour que ce jdidi éprouve pour ce sport et pour sa ville natale est assez exemplaire, car tout simplement, sans limite. Et ben que ne travaillant qu’avec les moyens de bord, ce sont des milliers de jeunes jdidis qu’il est parvenu à former sous ses directives et à qui il a su faire aimer le volley dans une ville où tout le monde ne parlait et ne jurait que par le foot.
Et si le volley jdidi continue aujourd’hui son hégémonie sur le plan national ( équipe féminine) et à briller de mille feux dans les championnats d’Afrique et Arabe, c’est grâce à la ténacité et à l’Amour de son frère cadet, Noureddine ( président du club), qu’il a su former et à qui il a su faire passer , aussi bien les b-a- ba que les ficelles de ce sport.
Hamid Lebbar vient récemment de recevoir un vibrant hommage ( photo) de la féderation marocaine de volley, et ce pour l’ensemble de sa carrière ( dirigeant – formateur – arbitre).
À ce garçon sympathique, cultivé et au rire contagieux, nous ne pouvons que souhaiter longue vie et bonne santé.
Ce sont des gens intègres et « propres » comme Hamid Lebbar qui honorent cette ville et lui donnent une bonne place au soleil, sur l’échiquier national.
Abdellah Hanbali
