L’une des plus respectables familles jdidies est en deuil: Hamid Blila n’est plus

Les départs ont toujours ce goût amer de l’absence qui s’annonce, de l’achevé qui nous ampute de tout espoir des retrouvailles, de la nostalgie inassouvie et de la tristesse qui nous envahit.

Une des  plus précieuses bougies de notre région vient de s’éteindre, Hamid Blila nous quitte, victime d’un AVC, une maladie qui emporte  sur son chemin de plus en plus de personnes qu’on aime et nous menace tout un chacun d’entre nous, comme l’épée de Damoclès.

Repose en paix ! Ton large sourire et ton regard pétillant et éclatant de vie resteront à jamais gravés dans nos mémoires.

C’est triste ce que les Grandes âmes s’égrènent et disparaissent comme les perles d’un collier qui se défait pour ne plus exister!

Dommage qu’on ne se rende compte de la valeur de tels «militants»  qu’une fois qu’ils ne sont plus là.

Sincères condoléances à sa petite et grande famille, ainsi qu’à tous ceux qui ont côtoyé le défunt de près ou de loin. Que le bon Dieu l’agrée en sa sainte miséricorde.

Grand, il l’était dans sa discrétion, sa sensibilité, sa dignité et son humilité.

Certes, des personnes qui nous sont chères nous quittent à jamais en laissant un grand vide. Sauf qu’à chaque départ, on a l’impression que notre âme se retire de nous et que le ciel nous tombe dessus. Pourtant, la terre ne s’arrête pas de tourner, le soleil ne cesse pas de se lever au petit matin symbolisant le cycle de la vie et la continuité du monde. Et après chaque disparition, il y a une naissance. Ceux qui sont partis ne nous quittent pas. Nous les portons en nous, nous apprenons juste à parler d’eux au passé et leur absence devient omniprésente et pressante. Après une perte, la vie continue certes, mais elle n’est plus pareille.

Puisse Allah recevoir le défunt dans son vaste Paradis.

«Nous sommes à Allah et à lui nous retournons».

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