Madame Béatrice Darrigrand, ancienne de Mazagan, ses deux filles jumelles, Sylvie et Bénédicte, leurs maris et leurs enfants ont effectué un pèlerinage à El Jadida dans la période du 7 au 11 mai 2024. Madame Béatrice Darrigrand résidait au quartier du Plateau avec son époux, André Darrigrand, considéré comme le premier précurseur au Maroc de la collecte des algues rouges. Dans ce pays, il a passé plus de 35 ans de sa vie et notamment à El Jadida.
Lors de son séjour au Maroc, la famille, composée dune douzaine de personnes, est passée par Marrakech, Essaouira et Casablanca où elle a clôturé son périple par la visite de la mosquée Hassan II avant de retourner en France.
Sylvie et Bénédicte, les deux filles de madame Darrigrand ont été ravies de revoir leur école à El Jadida : létablissement Charcot ainsi que leur ancienne maison, une villa sur la rue Assoudane au Plateau. Le nouveau propriétaire a reçu les deux surs avec hospitalité.
Madame Béatrice Darrigrand ma fait savoir que son mari était le premier industriel ayant lancé au Maroc et à El Jadida en particulier, en 1953, cette activité aujourdhui connue et pratiquée de ramassage des algues rouges. Auparavant, il soccupait, toujours à El Jadida, de lusine Pimag (Pêcheries industrielles mazaganaises), une affaire de salaison de poissons puis de conserverie, en association avec Marc Sellier, patron-pêcheur propriétaire de quatre sardiniers.
La famille Darrigrand quitta El Jadida en 1976. Mais, depuis, elle garde le contact avec le Maroc en effectuant de temps en temps des visites familiales pour retrouver latmosphère du pays de leur enfance et de leur jeunesse.
Jmahrim()yahoo.fr