⚜️FEU DRISS HANBALI -TÉMOIGNAGE

– D’une courtoisie singulière, il était un camarade de classe qui excellait dans la maîtrise de l’expression française écrite et il était resté à la hauteur de la langue qu’il visitait en rédigeant ces articles de presse qui le rendaient si près des jdidis francophones qu’il représentait dignement. En toute sportivité, il était parti élégamment, de si tôt et si discrètement sans jamais avoir dérangé ou froissé une quelconque sensibilité ou tendance. Avec du recul, il nous a apparu comme faisant partie d’une famille de journalistes , pour qui la presse , n’était du soft power comme maintenant, mais comme petite noblesse , une sorte de « Gentleman Agreement » où devait transparaître une probité intellectuelle sans faille, tellement elle reste motivée par l’amour des jdidis d’ici ou d’ailleurs. Ce dont nous faisons honneur. Maintenant que les murs d’El jadida que si Driss a fait parler, ont des oreilles, il est sûr qu’ils vont lui transmettre notre témoignage que la presse des doukkala se porte bien. En témoin , le fleuron de journalistes encore actifs et qui la démocratisation des moyens d’expression individuelle de tout un chacun, ils restent déontologiquement attachés à la qualité du service rendu au citoyen jdidi.
Prions pour l âme de si Driss Hanbali, et pour lui rendre un hommage , il aurait été souhaitable que ses pairs, dans la mesure du possible, nous fassent relire et revivre quelques documents ou articles de sa signature. Ses nouveaux lecteurs, ou de nouvelle génération, auront ainsi le même Droit de Cité, dans une ville qu’ils prendront en charge un de ces jours.

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