Il ne se trouve pas un seul jdidi qui n’a pas emprunté un jour, Baba Douaz.
Pourtant et au fil des années, ce passage qui n’a jamais eu la chance et le privilège de bénéficier de la moindre attention, à commencer par le doter d’ éclairage, prend l’aspect sinistre d’un véritable coupe-gorge
Est- ce si difficile d’y installer deux ou trois lampadaires?
C’est incroyable ce que ce Benrbiâ et ses acolytes sont inertes.
Espérons au moins que cela servira de leçon à tous ceux qui bradent leurs voix, lors des élections contre un billet de 200 DH.
Abdellah Hanbali
Bab Douaz…la porte négligée
