février 2024 - el jadida scoop

Kissariat Tazi d’El Jadida : un autre pan de la mémoire de la ville qui sombre dans les oubliettes.

Fév 28, 2024Fév 28, 2024 admins

Située au cœur de la ville d’El Jadida, entre la Cité portugaise et la fin du boulevard Zerktouni, kissariat Tazi compte parmi les lieux chargés d’histoire de la ville. Construite en 1916, elle est considérée comme l’une des plus anciennes kissariats du pays. Dans un passé pas très ancien, c’était un endroit vibrant où avaient lieu des ventes par courtage, enchères ou dlalla, notamment des vêtements traditionnels , des couvertures , des haiks et des tissus en pure laine confectionnés par des femmes jdidies. De nombreux tisserands y tenaient boutique.…

La visite du sultan Moulay Hassan à Mazagan au 19ème siècle.

Fév 28, 2024Fév 28, 2024 admins

Parmi les moments exceptionnels qu’avait connus Mazagan au 19ème siècle,la visite royale qu’avait effectuée le sultan Moulay Hassan à la ville en 1875,deux ans après son intronisation,ce qui montre toute l’importance accordée à la cité Doukkalie par le premier dirigeant du pays. Déjà,avant l’arrivée du sultan,la ville qui ne comptait pas plus de 2500 habitants,avait pris un aspect particulier.En effet,les populations des campagnes avoisinantes avaient spontanément érigé des Khaimas et des tentes tout autour de la ville,et se préparaient à bénéficier de la vue du sultan,qui est un moment unique…

Les tous premiers taxis d’El-Jadida

Fév 28, 2024Fév 28, 2024 admins

C’était au temps du Simca 1000 et 1100. C’était aussi l’époque où les calèches avaient été interdits de circulation en ville, et leurs propriétaires ( en guise de « dédommagement » ) avaient reçu des agréments de taxis à la place, devenant par la même occasion, les tous premiers propriétaires de taxis à El-Jadida.

L’artiste peintre ABDELKARIM EL AZHAR
Confiné à FUMEL en France

Fév 28, 2024Fév 28, 2024 admins

Par driss tahi Désormais, le nom de FUMEL, la petite ville française, aura certainement sa place dans la biographie de l’artiste peintre Azemmouri Abdelkarim El Azhar. Une ville, ou il a été contraint de séjourner pour une période indéterminée, malgré lui. Le hasard et les circonstances imposés par l’épidémie du coronavirus en ont décidé ainsi. Le grand peintre qui s’était rendu début mars en France pour quelques jours, afin de rendre visite à sa fille qui réside à FUMEL, s’est trouvé bloqué dans l’hexagone à cause de la fermeture des…