Parmi les moments exceptionnels qu’avait connus Mazagan au 19ème siècle, la visite royale qu’avait effectuée le sultan Moulay Hassan à la ville en 1875,deux ans après son intronisation, ce qui montre toute l’importance accordée à la cité Doukkalie par le premier dirigeant du pays. Déjà, avant l’arrivée du sultan, la ville qui ne comptait pas plus de 2500 habitants, avait pris un aspect particulier. En effet, les populations des campagnes avoisinantes avaient spontanément érigé des Khaimas et des tentes tout autour de la ville, et se préparaient à bénéficier de…
Read MoreJour : 28 février 2023
El-Jadida: La fontaine maudite….
La fontaine censée embellir le cœur de la ville d’El jadida, en redonnant un peu de fierté aux citoyens jdidis est aujourd’hui hors d’usage. Il s’agit de l’installation d’un système de jets d’eaux technologiquement très avancé, en faisant jaillir les jets d’eaux du ventre de la place, en en diversifiant les formes, l es débits, les couleurs et donner des spectacles féeriques…Tout pour retenir l’admiration des gens et les divertir. Or, ce bijou dernier cri dans le domaine, a dû coûter aux contribuables une jolie fortune. Mais qu’importe, si cela…
Read MoreChronique de Mustapha Jmahri: Quel rôle pour les archives locales dans l’écriture de la mémoire des villes ?
Dans le cadre de ses activités scientifiques, l’institution des Archives du Maroc à Rabat organise le vendredi 3 mars 2023 une table ronde sur le thème : «Quel rôle pour les archives locales dans l’écriture de la mémoire des villes ?».Lors de cette rencontre publique et inédite cinq expériences de recherches locales seront présentées afin de cerner, autant soit peu, le travail de certains chercheurs marocains au cours des dernières décennies. Il s’agira également de comparer leurs différentes approches concernant les archives locales (administratives ou familiales) dans le cadre plus général de leur…
Read MoreUne partie du corps d’un homme rejetée près de la plage de Sidi Abed.
Depuis qu’une partie du corps d’un homme a été rejetée sur la plage dite, Al Harchane , à quelques encablures de Sidi Abed, la gendarmerie du coin fait tout pour résoudre cette énigme au plus vite. Certes, avec une partie du tronc et de la jambe (sans tête), l’enquête s’annonce mal engagée, à priori. Mais, et aussi incroyable que cela puisse paraître, rien que cette partie du corps a été suffisante pour » parler » à certains habitants des environs. Il s’agirait du » corps » d’un jeune pêcheur, originaire d’Oulad Aissa…
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