Quand le Difaà était dirigé par des géants, de la trempe de Haj Abderrahmane Kamel et feu Driss Chakiri.
Un Difaâ toujours au sommet, à jouer les tous premiers rôles.
Certes on n’a jamais gagné de championnats, mais avec les moyens de bord, on a réussi à être sacrés, , champions d’hiver ( matchs aller), presqu’île dizaine de fois.
Et sans quelques magouilles ( fracticides) de personnes rancunière car ne faisant pas partie du comité, Dieu seul sait combien de coupes et de championnats, le DHJ aurait eu à son actif aujourd’hui.
Ici, lors de la finale de 1983, jouée contre les FAR, en présence de Sa Majesté, feu Hassan II
El Jadida Scoop