(cité portugaise)
La boucle est ainsi bouclée…
Comment se sont-ils épris de ce « violon d’Ingres » ?
Pour Jean Tronche la passion vint du grand-père « amateur très éclairé ». L’imitation de aïeul nourrie plus tard par l’imagerie médicale, un caractère expansif qui le fait aller à la découverte des paysages mais surtout des gens, le désir de fixer de belles rencontres sur de belles images : il n’en faut guère plus pour se prendre de passion pour la technique…
Pour Daniel Couton, l’image est une deuxième nature : il plongea très jeune dans le bain. D’abord, la caméra super 8 à 16 ans, puis deux ans plus tard les images fixes. Il se retrouve très vite dans un club amateur et l’envie de faire de sa passion son métier le conduit à suivre les cours de l’école Gobelins à Paris.