ELJADIDASCOOP
Les dirigeants du Difaâ n’ont jamais su mettre à profit, cette chance d’avoir un sponsor fort, stable et généreux comme l’OCP.
Des années durant, que l’administration du club paye aux alentours de 130 millions de centimes/an, en loyer pour ses joueurs. Pas une seule fois, on n’a pensé construire un ou deux immeubles, un petit hôtel…Des investissements amortissables en quatre-cinq ans maximum et qui auraient permis au club d’économiser non seulement l’argent des loyers, mais également celui des nuitées en hôtel, pour les matches joués à domicile.
De l‘éternel locataire qu’il est, le club deviendra propriétaire et pourra avoir un meilleur contrôle sur une partie de ses dépenses.
En lieu et place, le comité s’obstinait à ne raisonner, qu’en termes d’« acquisition » de joueurs.
Résultat, le club est au bord de la banqueroute. Les caisses sont vides. Les joueurs non payés. Les moyens pour empêcher le départ de certains joueurs ou pour renforcer l’équipe, manquent. Le centre de formation encore embryonnaire…
Que le club descende en deuxième division, n’étonnera plus grand monde.
Devant ce constat, l’OCP aurait pu investir, depuis belle lurette, dans l’immobilier et la formation, au lieu de persister à mettre tant d’argent, entre les mains de …tels dirigeants !
Il s’agit là d’un argent public et par extension, L’OCP est responsable de l’usage qui en est fait. Ne pas le faire équivaut à en être complice.