
Par Driss Tahi
Bons baisers de » Fumel » de la part de l’artiste peintre A. El Azhar, dont le séjour dans cette jolie ville se prolonge à cause de la fermeture des frontières qui perdure encore en France , malgré le deconfinement annoncé il y a quelques jours par les autorités .
L’artiste au lieu de repousser les avances de la charmante ville qui l’a acceuille dans son exil , a tout simplement cédé à sa beauté ; et comme dit l’adage :
« Le meilleur moyen de se délivrer de la tentation c’est d’y céder ».
Il nous dévoile à travers le dernier enregistrement vidéo dont il nous a gratifié, afin de nous donner de ses nouvelles et pour nous rassurer sur sa situation loin de sa ville Azemmour et de ses amis, les paysages époustouflants qui entourent cette commune et le calme qui y règne , et dont les dédales sont devenus pour l’artiste le circuit d’une promenade quotidienne et du coup, une source d’inspiration qui stimule merveilleusement sa créativité.
A. El Azhar, fait alors ,contre mauvaise fortune bon coeur et s’adonne à coeur joie à la lecture, à la méditation et à la peinture , en occupant ses heures à expérimenter et à explorer divers horizons nouveaux, dans la pratique personnelle et à reflechir à de nouveaux sujets d’arts plastiques.
Une autre chose, est néanmoins certaine , la prochaine exposition de l’artiste peintre Abdelkarim El Azhar sera marquée par l’empreinte du confinement, de l’exil et l’éloignement , mais surtout par les beaux souvenirs, d’une ville nommée FUMEL.