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Des têtes de bovins transportés dans des conditions archaïques et cuits dans des conditions douteuses. C’est le quotidien de ce « commerce » hors du temps, d’usage et d’hygiène. C’est la preuve par quatre, d’une commune démissionnaire et d’un service d’hygiène dont « le penchant » pour le bakchich, a fini par lui porter le coup de grâce et à le dépouillant de toute sa crédibilité.
Qui protège aujourd’hui la population jdidie ?
Dès qu’elles quittent les établissements de production ou de stockage, les denrées alimentaires périssables, qu’elles soient réfrigérées, congelées ou en liaison chaude, ne doivent elle pas être maintenues aux températures de conservation au stade du transport pendant toute la durée du transport ?
Le recours à des engins spéciaux répondant aux spécifications pour le transport de denrées périssables, n’est-il pas obligatoire ?
N’est-il pas interdit de prendre en charge avant, pendant ou après un transport de denrées alimentaires, des matières dangereuses susceptibles d’altérer les caractéristiques sanitaires et qualitatives par contaminations, émanations, pollutions et apports toxiques ?
En attendant (godot ?) la prise d’une décision ferme à l’encontre de tout outre-passement de loi, ces commerces continuent de fleurir et la santé d’une catégorie de citoyens, inconsciente du danger qu’elle encourt… à s’en ressentir.