Par: Khadija Choukaoli
Cela rend triste, perplexe de constater tout ce désespoir qui a pu conduire cet homme à renonce à sa vie, en ce mois sacré de pardon et d’abnégation. Une décision gravissime que certaines personnes, à bout de force, finissent par prendre pour tenter d’échapper, si l’on ose dire, à leur destin.
Ces derniers, temps, on assiste à une recrudescence de ce « phénomène » de suicide. Il est regrettable de déplorer la mort de tant de personnes, de cette façon, par décision personnelle comme « solution » de dernier recours.
A croire que cela prend, de plus en plus, la forme d’un phénomène de société, quand les citoyens ne veulent plus faire l’effort de d’essayer de surmonter leurs problèmes.
En effet, en ce vendredi, un homme d’une quarantaine d’années (né en 1974) a mis fin à ses jours par pendaison sur la terrasse de son domicile, sis à hay Sidi Moussa et travaillant en tant que fonctionnaire dans l’une des facultés relevant de l’Université Chouaîb Doukkali, laissant derrière lui une femme et deux enfants.
Le corps pendu du défunt a été remarqué par un de ses voisins à partir de la terrasse de son domicile.
Ce dernier a aussitôt alerté la responsable du 6ème arrondissement qui a, à son tour alerté les agents de la Sûreté Nationale et une patrouille du 3ème arrondissement s’est immédiatement rendue sur les lieux de l’incident a entamé les démarches nécessaires selon les procédures en vigueur, avant de faire transférer le corps du défunt à la morgue en attendant de lui faire subir une autopsie.