Bank of Africa et la CGEM El-Jadida – Sidi Bennour, ensemble pour l’accompagnement des porteurs de projets de la région.

Bank of Africa et la CGEM El-Jadida – Sidi Bennour, ensemble pour l’accompagnement des porteurs de projets de la région.

Pourquoi El-Jadida – Sidi Bennour ? Eh bien, parce que chaque région a des spécificités qui nécessitent d’être mises en valeur, et des réajustements qui doivent être opérés pour chaque  projet au fur et à mesure de son avancement.

Mais au-delà de la qualité des partenaires présents en ce mercredi 26 février au Mazagan Beach Resort, et de la diversité des projets présentés par les jeunes promoteurs, la réussite des programmes de ces derniers dépend et dépendra toujours, et en  premier lieu, de la ténacité, la compétence et surtout de la passion  de chaque jeune pour  l’ « univers » de son projet, et sa volonté de faire face à son lot de défis.

Des qualités  qui doivent animer chaque jeune porteur de projet et  constituer sa  plate forme de travail et d’où il doit puiser sa  force et sa réussite.

Quant au rôle qui incombera au CRI, il se « limitera » à accompagner chaque promoteur et à lui faciliter l’octroi des prêts nécessaires à l’avancement et à la réussite de son projet. Un rôle primordial, à même d’éviter l’asphyxie aux jeunes entreprises, notamment, lors des cinq premières années.

Cette mobilisation de toutes les forces vives du secteur, s’est faite en réponse aux hautes orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Elle a englobé  des officiels, des organismes publics et privés en charge de l’investissement et de la création des entreprises.

Ainsi, plus de 400 entrepreneurs et porteurs de projets dans différents secteurs ont pu prendre connaissance des détails du programme « Intilaka », tout en interagissant avec les intervenants sur les modalités d’octroi des financements et l’ensemble des mesures d’accompagnement prévues.

Rappelons qu’une mobilisation similaire a eu lieu en 2009, sous la houlette d’Ahmed Réda Chami, alors ministre de l’Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies.

Le fait qu’on reparle aujourd’hui encore, des petites et moyennes entreprises et qu’on se remobilise à nouveau, prouve que les attentes, d’il y a onze ans, ont été en deçà des aspirations escomptées et qu’il faudrait leur donner un coup de pouce et lutter contre tout ce qui pourrait entraver leur croissance.

Certes il y a eu des erreurs, en dépit des bonnes volontés de l’époque. Mais notre vœu le plus cher  aujourd’hui,  c’est d’essayer de  tirer profit des erreurs du passé pour mieux avancer ; et ce,  pour le plus grand bonheur de nos jeunes promoteurs et du pays tout entier.

Abdellah Hanbali

Related posts

Leave a Comment